« L’Oreille bigleuse »
Un petit coup de pouce pour ceux qui souhaitent faire de la musique ou du son… et qui pensent ne pas en être capables.
Si même un « bigleux des oreilles » y arrive, pourquoi pas vous ?
Avertissement
Je peux créer de la musique et du son malgré mes difficultés auditives, mais je n’ai pas la prétention d’égaler un professionnel aguerri doté d’une audition parfaite.
Cela dit, j’ai réussi à proposer des travaux tout à fait acceptables et qui ont trouvé leur public.
Ce coup de pouce s’adresse à tous ceux qui souhaitent s’aventurer dans ce domaine, avec leurs forces et leurs limites.
Je peux créer de la musique et du son malgré mes difficultés auditives, mais je n’ai pas la prétention d’égaler un professionnel aguerri doté d’une audition parfaite.
Cela dit, j’ai réussi à proposer des travaux tout à fait acceptables et qui ont trouvé leur public.
Ce coup de pouce s’adresse à tous ceux qui souhaitent s’aventurer dans ce domaine, avec leurs forces et leurs limites.
Avant-propos
Ce document n’a pas vocation à vous expliquer les différents types de compresseurs, les familles d’égaliseurs, ou comment placer vos micros pour enregistrer une batterie. Il ne vous dira pas non plus quel logiciel utiliser, ni comment traiter une voix avec tel ou tel plugin.
Rien de tout cela.
Il existe d’excellents ouvrages et sites spécialisés pour aborder en profondeur ces questions techniques, et je vous en recommande quelques-uns au fil du texte. Ici, vous ne trouverez qu’un seul tableau "technique" : une grille indicative de fréquences à surveiller, plus pour nourrir la curiosité que pour enseigner quoi que ce soit.
Il existe d’excellents ouvrages et sites spécialisés pour aborder en profondeur ces questions techniques, et je vous en recommande quelques-uns au fil du texte. Ici, vous ne trouverez qu’un seul tableau "technique" : une grille indicative de fréquences à surveiller, plus pour nourrir la curiosité que pour enseigner quoi que ce soit.
De quoi parle-t-on, alors ?
Si vous vous inquiétez de l’état de votre audition, et que vous redoutez que cela vous empêche de faire de la musique ou de travailler le son, ce document peut vous intéresser.
Si vous débutez, et que vous souhaitez éviter certains pièges — en particulier ceux que tend une industrie qui vend plus du rêve que des outils adaptés — il se pourrait que vous trouviez ici quelques pistes utiles.
Rien n’est exhaustif, mais tout est issu de l’expérience. Ce texte est le témoignage d’un passionné, moi, qui a connu ces obstacles avant vous, qui a tâtonné, persévéré, et qui partage ici ce qu’il aurait aimé lire au départ. Vous n’y trouverez pas non plus de conseils pour percer dans l’industrie musicale ou pour optimiser votre présence sur les plateformes. Ce n’est pas l’objet. Je ne suis qu’un amateur éclairé, pas une référence de la scène. Prenez plutôt ce texte comme un petit guide d’installation, ou un compagnon de route. Un "Comment dois-je m’y prendre pour produire de la musique ?" dans un cadre personnel, sincère, et adapté à ses moyens — et parfois à ses limites.
Si vous débutez, et que vous souhaitez éviter certains pièges — en particulier ceux que tend une industrie qui vend plus du rêve que des outils adaptés — il se pourrait que vous trouviez ici quelques pistes utiles.
Rien n’est exhaustif, mais tout est issu de l’expérience. Ce texte est le témoignage d’un passionné, moi, qui a connu ces obstacles avant vous, qui a tâtonné, persévéré, et qui partage ici ce qu’il aurait aimé lire au départ. Vous n’y trouverez pas non plus de conseils pour percer dans l’industrie musicale ou pour optimiser votre présence sur les plateformes. Ce n’est pas l’objet. Je ne suis qu’un amateur éclairé, pas une référence de la scène. Prenez plutôt ce texte comme un petit guide d’installation, ou un compagnon de route. Un "Comment dois-je m’y prendre pour produire de la musique ?" dans un cadre personnel, sincère, et adapté à ses moyens — et parfois à ses limites.